Cette habitation de deux niveaux a sans doute été édifiée au XVIe siècle mais a été fortement restaurée, notamment en 1959. Son rez-de-chaussée de calcaire appareillé est percé de deux baies jointives à piédroits chaînés, autrefois à croisée, ainsi que d’une porte flanquée d’un jour, à gauche. À l’extrême gauche, se trouve une autre petite baie murée. Porté par quatre poutres, l’étage en encorbellement, en briques et colombage, est raidi par des croix de Saint-André. Remplaçant les baies primitives à croisée de bois, trois baies récentes à encadrement de bois y ont été insérées. La maison est abritée sous une toiture en bâtière de tuiles.
Classé comme monument le 30 juin 1953
